Parce que chaque année, un grand nombre de femmes sont forcées de quitter leur domicile précipitamment avec leurs enfants. Elles quittent pour mettre fin à la violence vécue, la peur au ventre, et se retrouvent en maison d’hébergement, avec presque rien.

« On a besoin que le système judiciaire se mette en marche lorsqu’on dénonce des situations. On a besoin d’être regardées au même titre qu’une femme québécoise. On a besoin d’être considérées comme des êtres humains ».

Alors qu’ils avaient pour mission d’incarner le contre-
pouvoir des décisions administratives, les commissaires ont préféré jouer le jeu de la conscience politique des directions générales.

18 octobre 2019

Leur sourire vous accueille dès vos premiers pas dans l’école. On se demande d’ailleurs comment les secrétaires d’école font pour…