« On a besoin que le système judiciaire se mette en marche lorsqu’on dénonce des situations. On a besoin d’être regardées au même titre qu’une femme québécoise. On a besoin d’être considérées comme des êtres humains ».
Parce que c’est aussi ce que fait le PL 40 : il centralise et octroie de nouveaux pouvoirs au ministre de l’Éducation. Le pouvoir réel que se donne ainsi le ministre, c’est carrément d’éliminer le contre-pouvoir que représentait le conseil des commissaires.
Alors qu’ils avaient pour mission d’incarner le contre-
pouvoir des décisions administratives, les commissaires ont préféré jouer le jeu de la conscience politique des directions générales.
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